La deuxième raison qui justifie cette opération, c'est le désendettement. En effet, on peut toucher les revenus de ce fonds et les placer sur un compte notionnel du Trésor qui, comptablement, participera au désendettement de l'État. Charles de Courson me dit que cela ne représente que 0,5 % et il voit juste, comme très souvent. Mais la situation dont on a hérité, c'est une dette publique qui est passée en dix ans de 64 à 98 % de la richesse nationale.