Il y a beaucoup de contradictions dans ce que viennent de dire M. le rapporteur général et M. le ministre. Tout d'abord, si vous voulez réellement faire un point d'étape au bout de trente-cinq ans, alors c'est très simple : adoptez notre amendement, et la concession sera remise en jeu au bout de cette durée, ce qui sera l'occasion d'un véritable point d'étape. Sur ce point, nous pourrions tomber d'accord.
Ensuite, monsieur le rapporteur général, vous n'avez pas dit tout à fait la même chose que M. le ministre : vous avez dit qu'il faut une durée de concession longue pour maximiser le prix de vente et désendetter la France.