Nous en défendrons tout à l'heure un autre s'inscrivant dans le même ordre d'idées. Nous voulons préserver autant que possible l'emprise publique et démocratique sur l'avenir de l'infrastructure ainsi que sur sa gestion.
L'idée formulée à l'instant par Dominique Potier est séduisante dans le cadre d'une dynamique de reconquête, dès lors que l'État n'oblige pas les collectivités territoriales, en cas de difficulté, à participer au tour de table, comme nous l'avons constaté en d'autres occasions. Nous n'en sommes pas là. Nous pensons qu'il faut leur ouvrir la possibilité envisagée.