L'État ne s'enfermera pas dans une procédure particulière, je le dis très clairement à Laure de La Raudière. En revanche, la garantie que je lui donne, c'est qu'il y aura une mise en concurrence. C'est une garantie importante que je vous donne ce matin, madame de La Raudière : une mise en concurrence sera organisée s'agissant de la cession des actifs d'Aéroports de Paris détenus par l'État.
Voilà qui répond assez clairement, me semble-t-il, à votre inquiétude légitime ainsi qu'à la question qui sous-tend l'amendement. Au regard de la clarté de la réponse que je viens de formuler, je vous propose de retirer l'amendement.