Avis défavorable. J'en profite pour répondre à toutes les questions qui m'ont été posées.
Madame Fiat, j'accorde évidemment beaucoup d'importance aux buralistes. Je l'ai fait lorsque j'étais ministre chargé de l'aménagement du territoire, et je continue à le faire en tant que ministre de l'économie et des finances, avec le ministre de l'action et des comptes publics, Gérald Darmanin. Il n'y a pas de Française des jeux sans buralistes. Il n'y pas d'avenir pour La Française des jeux, qu'elle soit sous statut public ou privé, s'il n'existe pas un réseau puissant de buralistes.
Je rappelle que le contrat d'avenir des buralistes a renforcé leur rémunération. En outre, nous sommes en contact permanent avec M. Phillippe Coy, président de la Confédération nationale des buralistes de France : mon cabinet l'a reçu hier pour étudier les modalités de cette opération. Enfin, conformément à ce qu'ils demandent depuis des années, les buralistes pourront souscrire et participer au capital de La Française des jeux.