Jusqu'à votre arrivée, monsieur Corbière, notre débat était serein ; gardons cette même sérénité. Je vais répondre à vos remarques, mais je dois vous dire que la seule conséquence logique de votre position serait de fermer La Française des jeux. Vous nous dites qu'il y aura encore plus d'argent en jeu, plus d'appauvrissement, plus de menaces sur les pauvres. Je rappelle que le chiffre d'affaires de La Française des jeux a augmenté de 64 % en dix ans alors qu'elle était sous statut public. Ce n'est donc pas en empêchant sa privatisation que l'on va endiguer le développement des jeux en France. C'est avec la régulation que nous mettons en place.