On ne peut vouloir une chose et son contraire. Si on veut que les salariés, les buralistes, les associations d'anciens combattants ou les associations sportives vivent mieux grâce à de meilleures recettes, La Française des jeux doit se développer. Je pense que nous avons trouvé le bon équilibre avec ce système de régulation, qui sera plus strict après la privatisation qu'il ne l'est aujourd'hui.
Monsieur Di Filippo, je quitte le sujet de La Française des jeux pour vous dire que, si les faits sont têtus, comme disait l'autre, les chiffres le sont aussi. Comme ministre de l'économie et des finances, je ne laisserai jamais passer l'affirmation selon laquelle nous aggravons les déficits publics, …