Il doit y avoir une règle : sur les jeux en ligne – nous ne parlons pas des jeux « physiques », si j'ose m'exprimer ainsi – La Française des jeux ne peut pas conserver un monopole si son actionnariat est privé, même si l'État dispose de 20 % du capital. Elle doit être traitée comme les autres entités et opérateurs, sinon, les offres parallèles, mal régulées, se développeront de plus en plus.
Malheureusement, des jeux de machines à sous sont déjà accessibles en France et c'est pour cela que nous avons besoin d'une autorité plus puissante. C'est aussi pour cela que nous avons besoin de déterminer le périmètre exact de l'ouverture.
En tout cas, une fois privatisée, La Française des jeux ne peut pas bénéficier d'un monopole sur un certain nombre de jeux en ligne.