Monsieur le ministre, je suis embêté. Vous aurez compris que les quatre amendements que j'ai déposés visaient à parvenir à cette finalité, c'est-à-dire à poser le débat et à mener à cette discussion.
À mon sens, aujourd'hui, il revient tout de même à l'État, et pas à La Française des jeux, de protéger les mineurs. Il s'agit en effet d'une responsabilité collective : c'est à nous de les protéger.