Nous en avons très longuement débattu. Nous considérions de notre côté qu'Alstom ne pouvait pas rester tout seul sur un marché en forte transformation, et d'ailleurs en très grosse décroissance depuis. General Electric était le seul acteur avec lequel un mariage était possible ; aucune autre entreprise ne s'était manifestée pour reprendre Alstom. Il n'y avait pas d'alternative.
Après ces mois de commission d'enquête, je n'ai pas envie de refaire l'histoire.