J'avais eu l'honneur de défendre le décret Montebourg devant le Conseil d'État, qui avait été patriote à l'époque, puisqu'il avait accepté à l'unanimité la rédaction de ce décret utile – sans doute trop peu, cependant – pour réarmer l'État dans la discussion entre General Electric et Alstom.
Si la liste des secteurs stratégiques est importante, ce n'est pourtant pas la taille du décret qui compte, mais la façon de s'en servir.