Nous avons donc deux visions différentes, mais je défendrai mordicus celle que je viens d'exposer, car ce que regardent aujourd'hui les salariés, c'est leur salaire net, au bas de leur feuille de paie.
Deuxième point de désaccord : plutôt que de soutenir l'intéressement et la participation, dites-vous, nous ferions bien mieux d'augmenter les salaires, par exemple en donnant des coups de pouce massifs au SMIC. Mais cette solution, on l'a essayée, monsieur Quatennens ! Et c'est l'une des raisons pour lesquelles le chômage de masse a explosé en France depuis trente ans !