En effet, pourquoi pas. J'estime qu'imposer cette répartition-là est voué à l'échec. Un précédent président de la République avait voulu le faire – on en avait discuté à l'époque – , mais ne l'a pas fait. Il croyait pourtant à cette idée ; s'il ne l'a pas appliquée, ce n'est pas uniquement à cause de la crise, mais tout simplement parce qu'à un moment donné, il s'est rendu compte de son caractère irréaliste. Je préfère avancer sur des idées nouvelles plutôt que de ressortir des idées vieilles de dix ans, qui n'ont pas été appliquées.