Contrairement à ce que j'ai entendu, vu ou lu ici ou là, il ne s'agit pas de déshériter quiconque mais d'assurer que les fonds de pérennité, dont nous venons d'énoncer les nombreux avantages et qui existent dans le monde entier sauf chez nous, assurent la pérennité de notre capitalisme familial. Cette question constitue un vrai défi, pas simple, vous l'avez dit. Je vous suggère de retirer votre amendement, tout en espérant que nous pourrons engager un véritable travail de fond pour équilibrer la situation entre les intérêts des héritiers – qui doivent être évidemment préservés – et la pérennité des entreprises concernées, qui sont aussi l'avenir de la France.