Nous poursuivons avec celui-ci l'examen des amendements de notre collègue Pierre Cordier qui visent en réalité à réintroduire par voie d'amendement ce qui a été rejeté par la majorité lors de l'examen de la proposition de loi. Une fois de plus, j'entends l'argument du cavalier législatif : comme cela a été dit par mon collègue Daniel Fasquelle, quand on voit le pavé que représente ce projet de loi, vous avez en fait mis dedans tout et n'importe quoi.