J'admets, monsieur le rapporteur général, qu'il conviendrait d'affiner la comparaison européenne à laquelle je me suis livré, un peu à la serpe, il est vrai, faute de temps. Ce sont effectivement parfois les entreprises privées qui sont concernées et parfois les entreprises publiques.
J'en viens à un point plus sensible : il y a en effet une distorsion entre la France et l'Allemagne en matière de représentation syndicale. Ce serait d'ailleurs un beau sujet pour un travail législatif que nous pourrions engager au cours de cette législature ; nous serions favorables au dialogue sur cette question.