Il faut absolument s'attaquer à la question des relations entre donneurs d'ordres et sous-traitants. On ne peut pas s'en tenir à la sacro-sainte liberté d'entreprendre et au sacro-saint droit de propriété. Ceux-ci ne peuvent pas se déployer sans aucune règle ni entrave. Les salariés de GM& S, que j'ai rencontrés, m'ont décrit une situation inacceptable ; ils continuent d'ailleurs de se battre. En tout cas, ils ne veulent pas que se reproduise ce qu'ils ont subi. Je suggère qu'ils soient reçus par la mission que vous êtes en train de mettre en place, monsieur le président de la commission des affaires économiques. Je soutiens les amendements.