Nous avons été très éclairés par les débats qui ont eu lieu avant l'été. Mme Le Pen, qui n'est pas toujours ma référence, nous a fait la démonstration de ce qu'elle avait subi pendant l'élection présidentielle. Or les dispositifs dont nous parlons sont justement de nature à répondre à ses interrogations, alors que rien ne le permettait jusque-là. Nous n'attentons donc pas aux libertés, nous sommes juste dans l'idée que les fausses nouvelles doivent pouvoir être suspendues.