Je partage votre constat sur la nécessité de faire évoluer le métier d'AVS ou d'AESH, mais l'ordre des mots a un sens : en se référant à un « accompagnant à l'inclusion scolaire spécialisée », on induit l'idée d'une scolarité spécialisée, ce qui va à l'encontre de l'école inclusive. La proposition de Mme Descamps allait dans le sens d'une spécialisation de l'accompagnant, et il me semble donc qu'il serait préférable de parler d'« accompagnant spécialisé à l'inclusion scolaire ».