Cette mesure avait été proposée dans l'atelier sur le financement de l'économie circulaire dans le cadre de la préparation de la feuille de route sur l'économie circulaire. À l'époque, nous avions identifié un certain nombre d'activités de réparation qui ne nécessitaient pas une modification de la directive. Je persiste à penser que cela peut envoyer un bon signal à certaines activités de réparation, soit sous forme de baisse de TVA, soit sous forme de « chèque réparation » en direction de ménages ciblés.