Quel est, du reste, le pourcentage de personnes concernées par ce changement – vous êtes sûrement plus informée que moi – , rapporté au nombre de Français que la disposition prévue à l'article 6 sensibiliserait ? De plus, en cas d'accident sur la voie publique ou ailleurs, n'est-ce pas un argument majeur pour la sécurité que la possibilité d'avoir, sur sa carte nationale d'identité, la mention de son groupe sanguin ? Je soutiens, pour toutes ces raisons, l'amendement de M. Abad.