J'ai beaucoup apprécié votre discours, Monsieur Berta. Mais vous ne devez pas vous limiter à l'Hexagone ! Nous avons l'Europe, et la voix de la France dans le domaine des perturbations endocriniennes y est, ou plutôt y était très importante : elle s'est un peu éteinte… Je vous appelle à pousser vos représentants au niveau européen à mieux faire passer le message de l'importance du sujet et de l'urgence de la situation. J'ai rencontré à plusieurs reprises Mme Diane Simiu, conseillère « environnement » du Président de la République, et du Premier ministre. La France doit redevenir leader sur ces questions. Demain matin, j'assiste à la présentation de la Stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens. Je ne pourrai pas passer autant de temps que j'aurais voulu… Mais la France a une position forte sur ces sujets et doit la maintenir.
Concernant les statistiques, on parle d'un enfant sur cent, mais les chiffres sont flous et peu fiables…