Je pense, pour ma part, que la « niche Copé » a fait beaucoup pour maintenir l'attractivité de notre pays. Sans cette perspective de réduction – assez forte, il est vrai – de l'IS frappant les cessions de titres de participation, je ne suis pas sûr qu'autant de holdings seraient localisées en France. C'est pourquoi le coût de la mesure est très difficile à chiffrer, la matière fiscale étant, en ce domaine, extraordinairement volatile.