Ce n'est pas parce que l'État a mal négocié par le passé ses contrats avec les concessions autoroutières que tout le monde doit en pâtir, y compris les collectivités qui ont des contrats de concession ou qui ont noué des partenariats public-privé. Le fond du problème, et vous l'avez-vous-même relevé, c'est qu'on ne peut pas faire un sort particulier aux concessions autoroutières dans la mesure où cela constituerait une rupture d'égalité.