L'amendement de M. Bruno Millienne va exactement dans le même sens. Les huiles alimentaires usagées utilisées à des fins énergétiques pourraient ainsi ne plus être déversées dans les réseaux d'assainissement, ce qui améliorera la gestion des déchets et la qualité de l'eau. Par ailleurs, leur valorisation permettrait de réduire les émissions de CO2 par rapport à d'autres procédés de production de chaleur. Il nous semble justifié qu'elles bénéficient de cette exonération, au même titre que d'autres huiles.