En effet, que vont faire les populations fragiles accueillies dans ces logements que géreront des associations ? S'adresser au CCAS – centre communal d'action sociale – de la commune concernée, inscrire leurs enfants dans les écoles de la commune… Concentrer toujours les populations les plus fragiles dans les mêmes territoires n'est pas la solution. Il faudrait affiner la mesure de façon qu'elle soit applicable partout sauf en QPV, afin d'éviter de concentrer les difficultés dans ces quartiers : à cette condition, ce serait une excellente mesure.