Mme Bono-Vandorme a très bien exposé la situation. La difficulté, c'est qu'il s'agit d'un secteur très étroit : seules quatre entreprises sont concernées. Mais le coût de la mesure n'est que de 1,8 million d'euros. Qu'est-ce au regard des milliards de taxes supplémentaires perçues dont vient de parler Véronique Louwagie ? Ce secteur a besoin d'une telle mesure. Sinon, on le raye définitivement de la carte de la production française. Il est essentiel de prendre en compte l'importance d'une mesure spécifique pour un secteur très fragilisé qui a été omis de toutes les discussions par le passé.