Le législateur ne répond pas à une demande catégorielle particulière, c'est une action d'intérêt général. Je prendrai l'exemple de la possibilité pour nos associations d'intégrer les unions départementales des associations familiales (UDAF), qui nous a été ouverte sous le précédent quinquennat. Certaines de nos sections départementales sont ainsi adhérentes de ces UDAF, au sein desquelles nous côtoyons des associations réputées conservatrices ; nous leur serrons la main et un échange a lieu.
Par cette simple mesure, le législateur a lutté contre l'homophobie et favorisé un meilleur vivre ensemble.
Le 30/01/2019 à 14:40, Girodolle (Fonctionnaire) a dit :
Il me semble qu'il y a un débat sur lequel vous ne revenez jamais : les droits des enfants à avoir un père et une mère. D'une loi permettant à des couples hétérosexuels, ne pouvant avoir naturellement un enfant, de procréer, vous voulez passer, même si vous vous en défendez, à la marchandisation de l'enfant selon des désidératas des personnes adultes de même sexe. Vous ne résolvez pas le problème des homosexuels, qui seront malgré tout minoritaire et rangés dans des catégories, sans doute pas de leur propre chef, par contre vous créez un déséquilibre pour des enfants qui devront se développer sans père. L'absence de père je connais, et c'est difficile à vivre dans la recherche de sa propre identité. Vous créez donc de façon artificielle de nouveaux handicapés de la vie, en quête de repère.
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