Nous sommes un certain nombre à avoir récemment effectué un déplacement au Mali, où nous avons pu prendre des informations surprenantes sur l'état de maintenance de nos hélicoptères de combat Tigre. Ils restent des hélicoptères de combat parfaits pour ceux qui les emploient, mais leur temps de vol est assez limité. In fine, une impression se dégage, celle d'une relation difficile entre nos services et l'industriel.
Vous nous avez beaucoup parlé de la relation entre la DGA et l'industrie tout à l'heure. Est-ce que vous ressentez, chez Airbus, une forme d'ennui à collaborer avec la défense ?