Il ne s'agit pas d'un cadeau au patronat, mais d'un vrai cadeau aux actifs qui vont gagner du pouvoir d'achat. Cette mesure entre dans le cadre de notre politique de revalorisation du travail. Cela va dans le même sens que la suppression des cotisations salariales dont nous allons pouvoir mesurer les effets entre la première et la deuxième lecture du PLFSS, puisque dès la fin du mois d'octobre, ils seront visibles sur la feuille de paie, tant pour les salariés du public que ceux du privé. C'est une bonne disposition, que nous aurions bien entendu aimé pouvoir mettre en oeuvre plus tôt dans l'année. Mais, en responsabilité, au regard de l'état de nos finances publiques, nous nous félicitons de sa mise en oeuvre dès le mois de septembre.