Je vais sans doute anticiper sur la seconde série d'amendements, qui porte exclusivement sur les moniteurs de ski. Mais il se trouve que, du fait du coût de leur cotisation à la CIPAV, ces personnes refusent d'enseigner. La CIPAV ne perdrait donc aucune ressource si l'on adoptait ces amendements puisque, de toute façon, actuellement, ils ne cotisent pas.