Nous sommes en train de dévier du sujet principal. L'idée n'est pas d'inscrire systématiquement la pathologie dont souffre le patient, mais de justifier la mention « non substituable ». Le secret médical reste préservé, et cela permettra peut-être de prescrire plus de génériques, en mettant certains patients devant la réalité de la prise de générique au lieu du princeps. On aurait même pu aller plus loin, car j'ai peur que l'allergie ne devienne une justification régulière de cette substitution. Il y a là une piste à creuser. La question n'est pas de révéler un secret médical, loin de là, puisqu'il ne s'agit pas d'inscrire le nom de la pathologie dont souffre le patient.