Je regrette, monsieur le rapporteur général, que vous soyez défavorable à ces amendements. J'espère que nous serons néanmoins suivis et qu'ils seront adoptés, puisque tout le monde se dit d'accord avec nous sur ce sujet.
Je reconnais que l'association familiale auditionnée n'a pas évoqué spontanément ce sujet, puisqu'elle était intéressée par la question de la non-revalorisation des prestations, prévue à l'article 44. Mais les associations sont tellement désespérées de constater que, depuis quatre ans, nous nions l'évidence, qu'elles n'osent plus s'exprimer sur le sujet, de peur de paraître butées. Je sais, pour les avoir auditionnées à de nombreuses reprises avec M. Chiche il y a quelques mois, qu'elles sont très attachées à cette mesure.