Vous l'avez dit vous-même, monsieur le rapporteur général : personne ne peut être contre ! Ainsi, vous nous opposez des arguments purement comptables pour justifier le maintien d'une mauvaise décision prise en 2014 qui permet de se faire de la trésorerie sur le dos des familles. Tout le monde l'a dit : une naissance se prépare, elle a un coût. Certaines familles ont besoin d'un coup de pouce. Or, comme l'a dit Pierre Dharréville, toutes n'ont pas forcément le réflexe de solliciter une avance. Ces amendements, qui émanent de différents groupes de notre assemblée, marquent un véritable choix de société, un véritable choix politique. J'ajoute que la situation des comptes sociaux n'est plus, en 2018, ce qu'elle était en 2014. Je plaide donc pour une prise de conscience et une modification du logiciel qui prévalait jusqu'à présent. Il faut envoyer un signal très clair aux familles.