Sans revenir sur le fait que nous allions vers une disparition des centrales à charbon, je trouve que sur la méthode, la proposition du rapporteur est assez détonante. Le champ du texte est brutalement élargi à la faveur d'un amendement. Quel est l'impact exact ? Est-ce tout à fait neutre ? Comment cette disposition se coordonne-t-elle avec la disparition des centrales ? Il nous est dit qu'il s'agit du premier amendement d'une longue série ; j'aimerais savoir si à terme, parmi les substances dont l'exploitation est interdite, nous trouverons l'uranium ou d'autres.