Je partage votre souci de cohérence, mais si l'on vous suivait à la lettre, le choc provoqué chez certains par le projet de loi lui-même serait encore plus fort. Nous devons conserver l'esprit de votre préoccupation, tout en parant à ce risque.
J'espère que la réduction progressive d'activité que nous nous imposons sera assortie d'une décroissance équivalente sur le plan international. En l'état, le Gouvernement considère que votre proposition est trop radicale et souhaite le retrait de l'amendement.