Elles permettent de réaliser de véritables économies sans détériorer la qualité des soins apportés à nos concitoyens : 1 % de taux de substitution supplémentaire permet de réaliser 17 millions d'euros d'économie pour un service médical rendu identique. Je rappelle que la France est derrière ses voisins européens en la matière. Le fait que l'inscription des mots « non substituable » sur l'ordonnance, face au nom d'un médicament, devant être justifiée, instaure obligatoirement entre le médecin et son patient un dialogue qui est source d'une plus grande pédagogie, essentielle à l'appropriation des génériques par le patient.
Ce PLFSS est tourné vers nos concitoyens et les territoires, ainsi que vers les novations et la prévention. C'est tout simplement un projet de loi au service de tous, pour préparer les grands plans de demain, les grands plans de 2019.