Monsieur le ministre de l'agriculture et de l'alimentation, il s'agit de votre premier débat à l'Assemblée nationale ; ne loupez pas vos débuts ! On vous fait a priori confiance : vous n'avez pas voté la loi EGALIM, c'est-à-dire que vous ne vous payez pas de mot.
En revanche, cette fois, il s'agit d'être aux côtés de nos agriculteurs, et je voudrais me faire le porte-parole des producteurs bretons de légumes et de fruits, ainsi que des serristes, qui sont confrontés à de multiples difficultés. Aujourd'hui, ils sont inquiets, et ils écoutent nos débats.
Je suis d'ailleurs surpris que l'ensemble des collègues bretons ne s'expriment pas. M. Benoit et M. Lurton ont pris la parole avant moi, mais j'aurais aimé que nos autres collègues s'expriment.