Je prie nos collègues Graziella Melchior et Christine Cloarec de bien vouloir m'excuser : étant parmi nous, elles pourront s'exprimer pour défendre notre région, qui est confrontée à la difficulté que nous évoquons dans la filière des fruits et légumes.
Pourquoi a-t-on décidé, il y a quelques années, d'apporter un petit plus aux employeurs agricoles ? Ce n'est pas par faveur, monsieur le ministre, mais pour des raisons très objectives.