J'ai la conviction, mesdames et messieurs les députés, qu'avec la loi EGALIM, comme avec les ordonnances que nous allons prendre avec celles et ceux qui voudront y travailler, avec l'inversion de la construction du prix, en pesant de tout notre poids sur les négociations commerciales qui s'ouvrent aujourd'hui, avec l'épargne de précaution, avec la baisse des charges sur le fioul, les agriculteurs français vivront mieux demain qu'ils ne vivent aujourd'hui.
Il est possible de ne pas être convaincu par mon argumentation, mais je pense qu'il peut y avoir unanimité dans cet hémicycle pour dire que nous voulons tous que l'agriculture française – et les agriculteurs – se portent mieux demain.