Il peut d'ailleurs même nous arriver parfois d'y souscrire. Mes chers collègues, scellons donc aujourd'hui le pacte de Versailles : parce que nous sommes des parlementaires français, des parlementaires de la République, nous proscrirons constamment le populisme, qui va beaucoup trop loin. De fait, lorsque c'est nous qui embrayons en ce sens, il est certain que le peuple aura raison ; prenons-y garde, car cela pourrait nous réserver des lendemains difficiles.