Cet amendement est rédactionnel : il précise que le terme « sanitaire », utilisé par l'article L. 2132-2 du code de santé publique, désigne aussi les troubles psychiques, neuro-développementaux et bucco-dentaires.
En particulier, les études statistiques officielles indiquent que moins de la moitié des Français ont recours aux soins bucco-dentaires chaque année, contre plus de 70 % en Allemagne. Cet amendement permet notamment le renforcement de la prévention et de l'initiation à l'hygiène bucco-dentaire, sans aucune nouvelle dépense.