Monsieur Véran, vous avez dit quelque chose qui m'a fait mal aux oreilles : voilà longtemps que le médicament participe, et largement, aux efforts de maîtrise des dépenses de santé – cette année, cela représente encore 960 millions d'euros. Il y a longtemps que le médicament fait des efforts pour que des économies soient réalisées, avec 50 % des économies pour 15 % de dépenses. Je me permets d'apporter cette précision.
Quant au CEPS, M. Tanti a déclaré publiquement voilà quelques jours qu'il était facile de faire des économies sur les médicaments, car il suffisait pour cela d'appuyer sur un bouton.