Le 20 mars dernier, monsieur le député, devant l'Académie française, le Président de la République a défini la stratégie de promotion du français et du multilinguisme. Nous nous inscrivons dans cette dynamique, et c'est d'autant plus vrai maintenant, s'agissant en particulier des institutions européennes à l'issue du Brexit.
Dans cette perspective, je vois trois priorités. La première, la plus évidente – mais il faut la répéter – est que nos propres représentants s'expriment en français.