La commission n'a pas examiné l'amendement. Je salue l'argumentation de M. Pueyo, qui connaît parfaitement le sujet. Néanmoins, sans contester la nécessité d'ajouter des moyens où il propose de le faire, je le mets en garde : il existe aujourd'hui, au sein du ministère de la justice, une volonté de renforcer l'action du secrétariat général. C'est devenu une nécessité, car celui-ci régit plusieurs sujets et que la mutualisation ou le numérique sont des enjeux importants.
Dans ces conditions, priver le secrétariat général du ministère de la justice de 100 millions créerait un vrai problème. C'est pourquoi j'émets à titre personnel un avis réservé sur cet amendement dont je reconnais par ailleurs le bien-fondé.