Par ailleurs, le pass peut être détourné et revendu, comme le montre l'exemple italien cité cet après-midi par ma collègue Valérie Bazin-Malgras.
Je rappelle après Brigitte Kuster que l'expérimentation, qui concerne 10 000 jeunes dans cinq départements, représente un coût moyen de 3 400 euros alors que le pass culture coûte 500 euros : l'écart est important, même en tenant compte du coût de développement de l'application.
Il serait intéressant, monsieur le ministre, que nous puissions disposer des projections financières réalisées dans l'hypothèse où le dispositif serait déployé pour toute une classe d'âge, en intégrant le coût de l'application.