Dans le programme 224, j'ai pointé les crédits de paiement destinés à tous les opérateurs – parmi lesquels le Conservatoire national de Paris et celui de Lyon. Il s'avère que les montants correspondent à l'euro près à ceux prévus dans la loi de finances pour 2018, alors même que l'inflation est proche de 2 %. Cela signifie de facto une baisse des crédits de ces opérateurs.
L'amendement vise donc à revaloriser les crédits en tenant compte de l'inflation afin de préserver les opérateurs, dont de nombreux établissements d'enseignement artistique, de la musique et de la danse, d'une baisse de leur financement.