Monsieur le ministre, je me mets à votre place : vous voulez écouter et consulter, ce qui est normal.
Comment voulez-vous, cependant, que nous ne nous étonnions pas du devenir d'une décision prise par votre prédécesseure au sein du Gouvernement sur la base d'études préalables réalisées par les services ainsi que par les cabinets – des cabinets politiques, issus de la majorité – , une décision annoncée au mois de septembre et représentant 800 000 euros, qui a donné beaucoup d'espoir aux intéressés ?
Je ne voudrais pas, ici, faire de la politique politicienne.