Monsieur Larive, avec 21 millions d'euros de crédits supplémentaires pour la mission « Culture », je ne suis pas sûr que l'on puisse conclure à un désengagement de l'État dans ce secteur ! Il s'agit, je le répète, du deuxième budget de la culture en Europe.
J'entends votre mise au point sur la nécessité pour les établissements publics de trouver des ressources propres. J'y suis pour ma part plutôt favorable. Tel est d'ailleurs l'optique des contrats d'objectifs et de performance que nous poussons les établissements publics à signer avec l'État.
J'émets un avis défavorable.