Je suis très heureux que le Gouvernement, à travers ce projet de 110 millions d'euros pour Villers-Cotterêts, s'intéresse à la francophonie. Nous ne croyions plus à la prise en compte de cette cause, l'absence de secrétariat d'État étant révélatrice. La communication sur la francophonie était aussi très restreinte.
Je veux rappeler qu'il existe des actions en faveur de la francophonie à Paris même, où se trouve, en ce domaine, la seule scène nationale permanente pour le spectacle vivant : …